Délire matinal
Dur dur ce matin... après avoir attendu toute la nuit le marchand de sable (sûrement encore à copacabana en train de refaire son stock), j'avais enfin trouvé la position parfaite (sur le côté droit, légèrement en boule) , réchauffé mon duvet en ayant agité les jambes à la bip bip
fuyant le coyote, afin de réchauffer les molécules.... mon cerveau n'a
eu le temps que de se féliciter l'espace d'un instant, ultime moment de
consécration nocturne...pour entendre le fameux ...le bip bip qu'on redoute... la pire invention du monde.... le Réveil.
Ce qu'il y a de paradoxal dans ce mot... c'est quand même la présence du mot REVE....il. Sans blague, c'est quoi cette provocation, il s'agit justement du casseur de rêves notoire et universel.
Les inventeurs de ce mot sont des gènis ,il faut le reconnaître Mesdames et Messieurs. Le message caché dans ces quelques lettres est à chercher dans son anagramme-même.... vous trouvez?
Et oui..il s'agit du lièvre.
Alors
là tout s'explique. Le lièvre possède de longues pattes postérieures
qui lui permettent de se propulser en bonds rapides lorsque c'est nécessaire. On dit même que le lièvre d'Europe peut se déplacer à une vitesse de 70 km. Incroyable...
Voici donc une partie du message caché.... le réveil est un instrument qui est censé nous donner immédiatement une impulsion, afin de bondir hors du lit.
Ajoutons à cela, que Dame Nature à muni le lièvre ainsi pour lui permettre- lui gibier de chasse,-d'avoir une petite chance de s'en sortir dans la vie face aux méchants.
Tsak tsak faisons le parallèle avec notre master en communication. Les inventeurs de ce mot, ont réussit à faire adopter à une population entière une formule à consonance
agréable (présence du mot rêve) en apparence banale, tout en
dissimulant un message codé dans le dessein de conditionner les gens à
se lever chaque matin et à se battre au quotidien contre les attaques extérieures qui pourraient les mener à leur perte.
Ca, c'est de la communication, la vraie, la subtile, la fine fleur de la communication Mesdames et Messieurs...
On nage en plein délire.